Et si la psychiatrie officielle faisait fausse route ?
Vous qui lisez ce journal,vous connaissez sûrement quelqu’un dans votre entourage qui souffre comme on dit de « maladie mentale ». Ce ne serait pas étonnant puisqu’un québécois sur cinq, nous prédit-on, risque de contracter cette « maladie » au cours de son existence. C’est le langage officiel (…)