« Comme si ce n’était pas suffisant, Québec maintient dans ses tiroirs l’option de poursuivre l’octroi de contrats, souvent faramineux, sans appel d’offres, jusqu’à la fin de 2022 ou pour encore cinq ans, sauf exception. Est-ce à la fin de 2022, dans cinq ans ou jamais ? », ajoute le président de la FTQ.
« Autre élément qui nous inquiète grandement, en mettant fin à plusieurs mesures d’attraction et de rétention du personnel, dont les primes, le gouvernement a reconnu de fait que les conditions de travail, d’exercice d’emplois et de rémunération étaient grandement déficientes. Pour la FTQ, il est inévitable que la CAQ se magasine une vague de démotivation et de démission. Ça n’a pas de sens, il va falloir tout recommencer », conclut le président Daniel Boyer.
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