Par son forum, le gouvernement veut :
– Restreindre l’espace nécessaire pour discuter des solutions mises de l’avant par les professionnelles en soins.
– Détourner la négociation pour éviter d’avoir à répondre aux préoccupations spécifiques des professionnelles en soins.
– Retarder la mise en place de solutions concrètes et durables.
– Forcer les syndicats à diluer leurs demandes avant même d’avoir commencé à négocier.
La structure de négociation de la FIQ, adoptée par les déléguées, prévoit qu’un Comité de négociation, composé de sept professionnelles en soins élues, de deux coresponsables politiques issues du Comité exécutif national et de conseillères syndicales, participe aux travaux de la table de négociation. De plus, la FIQ a le mandat de négocier à sa propre table l’ensemble des sujets, une décision adoptée pour s’assurer que la voix des professionnelles en soins et leurs revendications trouvent écho à la table de négociation.
Le message est clair. La FIQ est disponible pour négocier, mais à la table de négociation !
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