Cet événement aura lieu à compter de 19h, au Boudoir 1550 (l’ancien Salon des poètes) au Pavillon Alphonse-Desjardins (rez-de-chaussée) de l’Université Laval.

Suivant le processus démocratique interne de Québec solidaire pour le choix de ses candidats et candidates, ce sont les membres qui élisent celle ou celui qui portera les couleurs du parti dans leur circonscription. L’association a reçu une candidature, celle de Marc-André Gauthier, membre et militant de Québec solidaire et résidant dans la circonscription.

Marc-André Gauthier est père de famille, diplômé en enseignement secondaire et présentement étudiant à la maîtrise en sociologie à l’Université Laval. Il milite activement en politique depuis déjà cinq ans. Dès l’âge de 22 ans, il avait été candidat aux élections fédérales de 2004 dans la circonscription de Roberval, sous la bannière du Parti vert. Peu après membre de l’Union des forces progressistes, il a participé à la fondation de Québec Solidaire et a contribué au développement du parti depuis. Après avoir milité pour l’association environnementale de l’Université Laval, Marc-André a contribué à fonder l’association de Québec solidaire Université Laval, et il en a été le porte-parole pendant deux ans. En 2007, il a participé activement à la campagne électorale de Québec solidaire dans Jean-Talon, lorsque Monique Voisine était la candidate ; c’était une expérience stimulante et formatrice au cours de laquelle il a pu prendre le pouls des électrices et électeurs de la circonscription.

Marc-André Gauthier montrait déjà ses couleurs en fin de semaine à Lévis en participant au Camp autogéré 08, une initiative de groupes anti-Rabaska : « Tant qu’on aura un gouvernement qui s’aplatit devant les grosses compagnies, le progrès de la cause environnementale va être trop timide et trop lent. L’aberration de Rabaska est un parfait exemple qui montre comment les libéraux sacrifient l’environnement et la qualité de vie des gens de la région pour permettre l’enrichissement de Gaz Prom, Gaz de France et Gaz Métro. Même le ministre de la santé, Philippe Couillard, a choisi d’ignorer les avis défavorables de deux Agences régionales de santé pour permettre à ces grandes compagnies de s’enrichir aux dépens du patrimoine naturel collectif des gens de la région de Québec. J’ai bien hâte d’interroger Yves Bolduc là-dessus ! Est-il pour Rabaska ou pour la santé ? »