Justice pour Marielle Franco !
Samedi, 16 mars 2019, 15h00 à 18h00 Place des Arts Organisé par le Coletivo Brasil-Montreal (Collectif Brésil-Montréal)
Samedi, 16 mars 2019, 15h00 à 18h00 Place des Arts Organisé par le Coletivo Brasil-Montreal (Collectif Brésil-Montréal)
Boaventura de Sousa Santos nous explique que la crise vénézuelienne ne s’explique pas par la volonté d’instaurer la démocratie au Venezuela mais plutôt par la volonté impérialiste de réinstaurer son contrôle sur les richesses pétrolières de ce pays.
tiré de L’Anticapitaliste, journal du NPA | Crédit Photo : Jair Bolsonaro. Wikimedia Commons Le 28 octobre dernier le désastre annoncé a eu lieu : pour cette huitième élection depuis la fin de la dictature (1985), l’ex-capitaine Jair Bolsonaro gagnait les élections présidentielles et, par là (...)
Communiqué de La Vía Campesina International suite à la tragédie de Brumadinho/MG au Brésil.
Vendredi dernier, le 25 janvier 2019, nous avons assisté à un crime environnemental et social majeur, perpétré par une des plus grandes entreprises minières du monde. Le barrage de « Corrego do Feijão », de l’entreprise Vale S.A. a cédé, déversant plus de 14 millions de m³ de rejets miniers (...)
Depuis l’investiture de Jair Bolsonaro, les attaques aux opposants politiques au Brésil ont augmenté. Les menaces de mort, l’exil et les attentats envers ces derniers sont à l’ordre du jour. Les liens de son fils avec les groupes criminels accusés d’avoir assassiné Marielle Franco inquiètent (...)
Dès les premières heures de son mandat, le nouveau président brésilien, Jair Bosonaro, a ciblé la communauté LGBT en l’excluant du champ d’action du ministère des Droits de l’homme. tiré de : Le charme discret du monstre De Infolettre de Fugues
tiré de : Entre les lignes et les mots 2019 - 2 - 12 janvier : Notes de lecture, textes, annonce, lien, pétition Le mardi 1er janvier 2019, est entré en fonction l’ancien capitaine de l’armée brésilienne, Jair Messias Bolsonaro, nommé président dans un processus électoral controversé dans (...)
Jair Bolsonaro a nommé sept ministres directement militaires, à savoir : le général de la réserve Augusto Heleno, nommé au Bureau de la sécurité institutionnelle (GSI) ; un autre général de la réserve, Fernando de Azevedo e Silva, nommé au ministère de la Défense ; le général Carlos Alberto (...)
Au Brésil, l’oligarchie est parvenue à destituer la présidente en exercice, Dilma Rousseff, par un coup d’État institutionnel et placer son vice-président, le très réactionnaire Michel Temer, au pouvoir sans passer par les urnes. Devenu le président par intérim le plus impopulaire de (...)
Tiré du blogue de Franck Gaudichaud sur mediapart.fr « Je n’ai jamais été seul, j’ai toujours senti la présence de Dieu ». Voici les premiers mots prononcés par le nouveau président du Brésil à l’annonce de sa victoire électorale, le 28 octobre, après avoir prié devant les caméras aux côtés (...)
tiré de : Entre les lignes et les mots 2018 - 44 - 17 novembre : notes de lecture, textes et pétition Douze millions d’Africains et d’Africains ont été transportés vers les Amériques pendant toute la période de la traite négrière. Une anthropologue remet les points sur les i à propos des (...)
Une belle image a circulé sur les réseaux sociaux le soir du deuxième tour de l’élection présidentielle : « Personne ne lâche la main de personne. » Le grand legs des élections est un vaste réseau pour le droit à la vie, mais aussi pour la terre, le logement, l’éducation, la santé, la (...)
La droite et l’extrême droite au Brésil, l’une des plus corrompues au monde sont devenues les porte-parole de l’éthique, sans jamais avoir pratiqué un geste en faveur de l’éthique dans la politique brésilienne.
tiré de : Entre les lignes et les mots 2018 - 43 - 10 novembre : notes de lecture, textes et pétitions Nous, les familles du MST de la région sud de l’état du Minas Gerais, installées au Quilombo Campo Grande, dénonçons l’action fasciste contre nos 20 ans de lutte.
Human Rights Watch (HRW) a lancé dimanche un « appel urgent » à « protéger les droits » démocratiques du Brésil après l’élection du candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro à la présidence de la première puissance d’Amérique Latine. tiré de : Sortir les artistes de leur zone de confort De (...)
Bolsonaro a commis des fraudes électorales et tient des propos haineux à l’égard des femmes, des communautés racisées, LGBT, et des personnes marginalisées. La fragile démocratie, ainsi que les avancées sociales, politiques, économiques, environnementales et culturelles des quatre dernières (...)
Lula da Silva et Dilma Roussef ont gouverné le Brésil pendant 13 ans, de janvier 2003 à mai 2016. Lula a développé le réseau d’enseignement public et il a aidé 30 millions de Brésiliens à sortir de la misère. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, dans ce pays grand exportateur de (...)
La catastrophe attendue et prévisible est arrivée. Cet immense pays de 200 millions d’habitant.es est entré dans les ténèbres et, au mieux, cela prendra une décennie ou deux pour s’en sortir.
L’économie brésilienne peine à se remettre de la crise de 2015. Malgré les années Lula, les inégalités restent immenses et repartent à la hausse. Un carburant pour Jair Bolsonaro, qui promeut un programme néolibéral démagogique.
tiré du site A l’encontre. Le dimanche 28 octobre, 147 millions de Brésiliens et Brésiliennes étaient appelés à voter, directement, pour la huitième élection présidentielle après la période de la dictature de 1964 à 1985. Le vote s’est fait par système électronique. Ainsi à minuit – heure (...)
J’écris, il y a quelques jours, un texte à destination de ceux qui n’ont pas encore décidé pour qui voter au deuxième tour des élections, et aussi de ceux qui se mobilisent pour convaincre ceux qui doutent encore. Ce texte est long, j’ai donc fait un résumé. J’espère qu’il sera utile. En fin (...)
22 oct. 2018 | tiré du blog de Christian Laval - mediapart.fr Le second tour de l’élection présidentielle au Brésil, le 28 octobre, risque de voir triompher le partisan d’une dictature néolibérale. Ce nouveau néolibéralisme, aux couleurs du nationalisme autoritaire et même du fascisme dans (...)
Qui sommes-nous ? 1. Nous sommes des femmes, des millions et nous sommes diverses. Nous sommes brésiliennes et migrantes. Jeune et avec des cheveux blonds. Noires, blanches, indigènes. trans et travesties. Nous aimons les hommes, les femmes ou les deux. Nous sommes mariées et célibataires.
Presse-toi à gauche ! propose à tous ceux et celles qui aspirent à voir grandir l’influence de la gauche au Québec un espace régulier d’échange et de débat, d’interprétation et de lecture de l’actualité de gauche au Québec...