Voyage de l’auteur d’abord qui, de Montréal à Londres et de Chambly à Édimbourg, note ses moments « où le jeu des forces sociales finit par donner raison à la scrap prolétarienne en calvaire » dont il se réclame.
Voyage intérieur ensuite, où les observations amoureuses côtoient les calculs stratégiques, les jeux pour s’accrocher « à la vie qui veut » et les efforts pour « mettre le feu à ce qui nous étouffe et nous retient par terre ».
Voyage pour le lecteur et la lectrice, enfin, qu’on invite vers la libération « ou en tous cas vers la contestation » dans ces projections libérantes pour que finalement « l’osti d’monde tire à sa fin ».
La fin du monde est en osti
120 pages
10 $CA (8 €)
Publication : octobre 2015
ISBN 978-2-9815547-1-0
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et chez certains dépositaires, dont les librairies Le port de tête et La flèche rouge à Montréal et la librairie Pantoute à Québec.
« Et nos soeurs qui se détruisent dans la couture. Et nos pères qui se noient dans les gallons de peinture. Comme c’est assez. Comme nous en avons assez. Car si la vie réelle est sans détour, la fin du monde est en osti. »