« À l’époque du dépôt du projet de loi no 176 sur la réforme de la Loi sur les normes du travail, la FTQ avait dénoncé le fait que le gouvernement du temps ait décidé d’interdire pour le futur les clauses de disparité de traitement tout en refusant de corriger la situation pour ceux et celles qui en étaient déjà victimes. L’adoption à l’unanimité d’une motion réclamant la fin de cette discrimination démontre bien que lorsqu’il y a de la bonne volonté, les parlementaires peuvent travailler ensemble pour le bien commun de la société québécoise. Il faut s’en féliciter », déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
« Cela augure bien pour le futur, il faut maintenant espérer que cette nouvelle coopération aboutira à un changement de la Loi sur les normes du travail afin de mettre définitivement fin à une injustice qui affecte principalement les jeunes travailleurs et travailleuses », conclut le secrétaire général.
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