« Après 2 ans et demi de négociation, les 39 membres du CALQ travaillant à Québec et Montréal ont fait preuve de grande solidarité et de détermination pour obtenir une entente acceptable, votée très majoritairement le 20 septembre pour le renouvellement de leur convention collective. Ces professionnelles et professionnels travaillant dans le domaine de la culture étaient sans convention collective depuis près de trois ans et demi », explique le président du SPGQ, M. Richard Perron.
Malgré des progrès à la table de négociation pour certaines demandes, des enjeux importants demeuraient en suspens, notamment en ce qui a trait à l’organisation du travail et à la rémunération. Cependant, l’employeur a répondu de façon acceptable aux demandes du syndicat dans des dossiers comme la parité salariale avec la fonction publique, des dispositions sur le développement professionnel et la régularisation des occasionnelles et occasionnels.
Avec d’importants surplus budgétaires dans les coffres de l’État, le gouvernement a choisi de réinvestir dans les conditions de travail des membres du SPGQ au CALQ. « Des augmentations décentes avaient déjà été octroyées aux professionnelles et professionnels de la fonction publique et d’autres unités parapubliques. Le geste du gouvernement démontre que nos expertes et experts du CALQ ne sont pas des employées et employés de troisième ordre qui méritent de s’appauvrir », conclut le président du SPGQ.
Rappelons que les professionnelles et professionnels du CALQ occupent, notamment, les fonctions suivantes : analyste de l’informatique et des procédés administratifs, agent d’information et agent de recherche et de planification socio-économique.
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