« Ce Congrès, en plus de dresser le bilan des dernières années, est l’occasion de faire le point sur notre avenir, et pour les militants et militantes de confier de nouveaux mandats aux dirigeants de la FTQ et au Bureau de direction formé des syndicats affiliés de notre Fédération. Parmi ces mandats, il y a bien sûr la représentation politique, ce qui est au cœur même de notre existence, n’en déplaise au gouvernement revanchard de François Legault et de la CAQ qui rejette le dialogue social », déclare la présidente, Magali Picard.
La CAQ sème le chaos
« Contrairement aux mensonges véhiculés par le gouvernement de la CAQ qui se cherche des boucs émissaires pour justifier tous ses échecs, nos organisations, qui appartiennent aux travailleurs et travailleuses, sont transparentes et démocratiques. Les gains sociaux du mouvement syndical sont aussi les gains de toute la population du Québec : ne l’oublions pas », ajoute le secrétaire général, Denis Bolduc.
« Ce 34e Congrès doit également nous permettre de nous projeter vers l’avenir toujours avec le même objectif, soit construire une société plus juste, plus égalitaire, plus respectueuse de l’environnement et plus solidaire. Aussi, nous allons poursuivre fièrement notre route pour faire aboutir nos échanges sur les États généraux du syndicalisme avec l’ensemble des grandes organisations syndicales du Québec », concluent les leaders syndicaux.
Ce Congrès marque également la fin d’un cycle pour le secrétaire général Denis Bolduc à ce poste, qui prend une retraite bien méritée. Merci, Denis !
Le 34e Congrès de la FTQ prendra fin ce jeudi 27 novembre en après-midi par l’élection du nouveau Bureau de direction, représentant les syndicats affiliés, et de l’assermentation de la présidente, Magali Picard, et du nouveau secrétaire général, Olivier Carrière, du syndicat Unifor, déjà élus par acclamation.


Un message, un commentaire ?