« C’est une attaque à la liberté d’expression. Ce directeur évoque le droit de loyauté pour faire taire les travailleurs. Le personnel a à cœur l’hôpital et les services qui y sont rendus. Ils sont non seulement salariés, mais aussi des membres actifs de la communauté et ils sont en droit de dénoncer des coupures qu’ils jugent dangereuses », d’expliquer Stephane Lachance, conseiller syndical SCFP.
Le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue souhaite fermer huit lits en santé mentale à La Sarre. Ils seront remplacés par des ressources intermédiaires.
« Malheureusement, les besoins sont en hausse. Cette décision va à l’encontre du bien de la population et ces travailleurs-citoyens dénonçaient simplement une situation injuste », de conclure le conseiller syndical.