L’imposition d’une cotisation facultative pour financer les activités syndicales liées aux mouvements sociaux ou aux campagnes publiques limite la capacité des syndicats à défendre les droits collectifs des travailleuses et travailleurs au-delà des conventions collectives. Le FDNS rappelle que près de 60 % de la main-d’œuvre québécoise n’est pas syndiquée et dépend du travail des organisations communautaires et syndicales pour faire progresser leurs droits. Le projet de loi 3 menace directement ces organisations, particulièrement celles dont le financement provient en partie de la solidarité syndicale.
Le FDNS exprime une opposition ferme à cette loi, considérée comme une attaque directe contre l’action syndicale et la défense collective des droits.
Recommandation : Le Front de défense des non-syndiqué.e.s demande aux parlementaires de rejeter le projet de loi 3 dans son entièreté.




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