Cela fait dix ans qu’il y a des consultations publiques et des engagements pour le développement du transport en commun. Nous voulons dire aux candidates et candidats qu’il est temps de passer des promesses aux actions.
Pour Olivier Amiot : « la passe mensuelle et même les billets d’autobus sont trop cher pour lui et sa famille, à ce prix là nombreux s’achèteront une voiture ». En plus de l’accessibilité financière, ce qui est important pour Emilie Frémont- Cloutier, « c’est que les gens vivant dans les secteurs défavorisés de la ville, ceux et celles qui n’ont pas les moyens de s’acheter une automobile puissent avoir accès au transport en commun, afin de briser leur isolement et avoir accès au travail, à l’épicerie, à l’hôpital ».
De son côté, Étienne Grandmont a illustré l’apparition de la classe sardine dans les métrobus en remplissant un arrêt d’autobus avec des manifestant.es.
En fin de parcours, les participant.es ont joué avec humour au petit train à la queue leu leu. Enfin, des obstacles à la mobilité (le troisième lien, coût trop élevé, manque de fréquence, accessibilité universelle etc.) ont été personnifiés par des cônes à abattre par le public.
Les autorités publiques doivent répondre rapidement aux besoins la population en matière de transport en commun et ce autant en matière d’efficacité, de rapidité et d’accessibilité financière et physique.
Les porte–paroles de la mobilisation Le transport en commun, c’est capital
Groupes relayant l’invitation :
· Accès transports viables
· Regroupement d’éducation populaire en action communautaire des régions de Québec et Chaudière-Appalaches (RÉPAC)
· Collectif Subvercité
· Collectif pour un transport abordable et accessible à Québec (TRAAQ)
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