Le soulèvement irakien de 2019 et l’imaginaire féministe
Dans la « montagne Uhud » [1] – un grand bâtiment abandonné de la place Tahrir, dans le centre de Bagdad, qui fait face à la zone verte – les jeunes manifestants, hommes et femmes, qui avaient investi le bâtiment, ont scandé Inryd watan (Nous voulons un pays) et Nazel akhuz haqqy (Je descends pour (...)