« Pour un véritable droit d'auteur au Maroc »
Le droit romain ignorait la propriété artistique et littéraire, mais pas la voix des poètes. Martial, au premier siècle après Jésus-Christ, traitait les contrefacteurs de ses poèmes de chapardeurs et de plagiari, qualificatif qui désignait les voleurs d’esclaves, d’où les mots français de plagiat et (...)