Syrie : L’ennemi de mon ennemi n’est pas forcément mon ami
La vieille idée que l’ennemi de mon ennemi est mon allié, si pas mon ami, a la vie aussi dure que l’autre idée également néfaste qu’au nom de la lutte contre « l’ennemi principal » il faudrait tolérer les pires crimes de l’allié ou de « l’ennemi secondaire ». Les gens qui ne pensent qu’en termes (…)