« La démission du président de la FTQ-Construction après les révélations de La Presse ce matin était essentielle, mais ne devrait pas mettre fin à la conversation. On doit se questionner sur l’impunité qui a permis à cet homme d’atteindre la présidence d’un des plus grands syndicats québécois », affirme le président de la FTQ, Daniel Boyer.
Aujourd’hui, 28 avril, on souligne le Jour commémoratif des personnes décédées ou blessées au travail. Les personnes blessées au travail, ça inclut cette femme courageuse qui a décidé de dénoncer un homme en position de pouvoir.
Rappelons que les militants et militantes de la FTQ ont adopté, au Congrès de 2019, une politique de prévention et de traitement des cas de harcèlement psychologique et sexuel lors des activités de la Fédération.
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