Le berlusconisme et la transition autoritaire
Nous poursuivons la publication de notre dossier consacré à la droite extrême et à l’extrême droite en Europe, avec une analyse plus particulière du cas de l’Italie de Berlusconi.
Nous poursuivons la publication de notre dossier consacré à la droite extrême et à l’extrême droite en Europe, avec une analyse plus particulière du cas de l’Italie de Berlusconi.
Le samedi 16 octobre dernier, plusieurs centaines de milliers de travailleurs ont manifesté à Rome à l’appel de la FIOM - le syndicat des métallos de la CGIL, principale centrale du pays - contre la volonté de la direction de la FIAT et de la Cofindustria (le patronat italien) de liquider les (…)
La crise pèse évidemment même sur les classes dominantes, sur le pouvoir fort, sur la Confindustria (le conseil du patronat italien) et sur les banques, sur le capital financier. Aujourd’hui elles ne savent plus s’il faut miser encore sur le gouvernement Berlusconi, qui offre sa détermination (…)
Ce deuxième No Berlusconi Day est la suite naturelle de la manifestation du 5 décembre 2009", dix mois plus tôt, qui avait rassemblé plus d’un demi-million de personnes.
C’est la totale inconsistance de l’opposition qui apparaît de la manière la plus éclatante tandis qu’elle continue à soutenir les choix du gouvernement tels que le renouvellement des missions militaires. Or, Tremonti est effrayé par l’unique choix sérieux que l’opposition devrait poser, à savoir (…)
Le projet est présenté comme un investissement important qui, relançant le rôle stratégique de la base pisane, pourra avoir d’importantes retombées économiques sur le territoire. « L’aéroport militaire nouvelle richesse pour Pise », titre Il Tirreno (journal régional pisan, NdT) (3 août), (…)
Presse-toi à gauche ! propose à tous ceux et celles qui aspirent à voir grandir l’influence de la gauche au Québec un espace régulier d’échange et de débat, d’interprétation et de lecture de l’actualité de gauche au Québec...