« Nous avons été surpris de la candeur avec laquelle le ministre du Travail a avoué en commission parlementaire qu’il n’en connaissait peut-être pas assez sur le déroulement des assemblées syndicales », de dire Luc Boissonneault, président du SCFP 1638.
« Monsieur le ministre, nous le réitérons, nous sommes prêts à vous accueillir et à vous faire vivre la réalité d’une assemblée générale, l’instance suprême dans le monde syndical. Vous allez voir à quoi ça ressemble de la démocratie directe ! », de renchérir le président syndical.
Les syndiqué(e)s sont estomaqué(e)s d’apprendre que le ministre manque de connaissances au regard des assemblées générales alors qu’il se permet de légiférer pour leur imposer une panoplie de procédures afin de les régir, procédures qui, en grande partie, existent déjà.
« Dites-nous quand vous êtes disponible et nous convoquerons nos membres », de conclure Luc Boissonneault.




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