Voici pourtant cinq demandes environnementales d’importance qu’il aurait pu adresser dans le cadre des élections fédérales :
– Refuser tout nouveau projet d’oléoduc de pétrole et de gazoduc sur le territoire du Québec ;
– Éliminer toutes nouvelles subventions aux énergies carbonées pour investir plutôt dans les énergies renouvelables ;
– Promouvoir une politique nationale sur l’usage optimum des plastiques pour minimiser les effets négatifs sur l’environnement ;
– Promouvoir l’électrification des transports et des bâtiments de diverses façons ;
– Favoriser l’exportation des surplus d’électricité du Québec vers d’autres provinces dont l’Ontario et les Maritimes.
Alors qu’on lui avait parlé d’urgence climatique il y a quelques mois, M. Legault avait répondu que lui, au Québec, c’était l’urgence pragmatique. Si on doit se fier à ses demandes au fédéral pour juger de « son urgence pragmatique ». On repassera pour l’urgence.
Pascal Grenier, simplicitaire
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