La job est faite, le mercenaire s'en va ailleurs !
Oh là là, à lire les médias il faudrait pleurer le départ de Michael Sabia de la présidence d’Hydro-Québec. À vrai dire, avec une telle réaction, les médias ne font que nous dire à quelle adresse ils logent : celle de grands défenseurs des privatisations au bénéfice du grand capital. Plus que (…)