En effet, les 230 membres du Syndicat des employés d’entretien de l’Université de Montréal (SEEUM, SCFP 1186) avaient voté à 91 % pour un mandat permettant de recourir à des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève au moment jugé opportun.
« Heureusement, nous avons trouvé une entente à la table de négociation. Je remercie les membres pour leur appui. Nous sommes heureux et heureuses de commencer la nouvelle année avec une convention collective avantageuse pour ces salarié(e)s », d’expliquer Yannick Tremblay, président du SEEUM.
Les principaux enjeux entre les parties étaient une meilleure conciliation travail-vie privée et un rattrapage salarial dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, en particulier pour les métiers spécialisés.
Le syndicat a obtenu la semaine de travail de quatre jours pour ses membres et une amélioration des clauses relatives aux vacances. De plus, l’université s’engage à étudier le marché de l’emploi afin de s’assurer que certains métiers sont payés adéquatement.
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