Malm au Québec
La rencontre avec Andreas Malm[1] nous laisse avec un sentiment contradictoire : la gauche radicale peut être fière et coupable à la fois. Comme si l’auteur nous envoyait un message codé, une sorte de palimpseste que nous pourrions déchiffrer ainsi : « C’est très bien ce que vous avez fait. Vous (…)