« Pour la FTQ, la Marche mondiale des femmes est une opportunité de poursuivre notre lutte pour l’équité salariale, contre les violences faites aux femmes et pour une transition écologique juste. Nous marcherons aux côtés des groupes de femmes et des autres centrales syndicales pour dénoncer les inégalités persistantes vécues par les femmes et revendiquer un monde plus juste », déclare Magali Picard, présidente de la FTQ.
Dans un contexte de montée des idées conservatrices et d’attaques envers les droits des femmes et des travailleur-euses, les mobilisations féministes sont plus urgentes que jamais. « Pour la FTQ, lutter contre les violences, la précarité et l’exploitation des femmes, ça passe par des milieux de travail plus justes, plus humains et plus inclusifs. Parce que l’histoire du syndicalisme, c’est aussi une histoire de femmes qui se battent, s’organisent et changent le monde, une lutte à la fois », ajoute la présidente.
Depuis la Marche du pain et des roses en 1995, le mouvement syndical joue un rôle central dans la construction de solidarités féministes. Trente ans plus tard, la FTQ réaffirme son engagement pour un avenir sans violence, sans pauvreté et sans compromis sur nos droits.
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