« Québec solidaire a été le seul parti à se battre contre la hausse du coût de la vie et la crise du logement. Pendant ce temps-là, le premier ministre a passé la session à faire ce que personne n’a demandé. Il s’est attaqué aux travailleurs et aux syndicats qui les défendent. Il est parti en guerre contre les médecins sans égard pour les patients. Il a effrité notre démocratie à coup de projets de loi dangereux pour l’environnement, pour nos droits et pour les femmes. Tout ça pour faire diversion d’une chose : il n’est pas le premier ministre de l’économie qu’il a toujours prétendu être. Quand nos citoyens dorment dans la rue, que la classe moyenne vit de l’insécurité alimentaire, que les gens qui travaillent à temps plein n’arrivent pas à se loger, on ne peut pas dire que l’économie va bien. Après deux mandats de promesses rompues, les masques tombent. Le premier ministre est un cancre en matière d’économie », a affirmé Mme Ghazal.
Élu porte-parole début novembre, Sol Zanetti a pour sa part martelé l’importance de Québec solidaire pour parler des enjeux de la fin du mois, mais aussi pour proposer un véritable projet de société pour l’avenir du Québec.
« Cette session, on a démontré à quel point notre action est indispensable. Pendant ma campagne pour devenir porte-parole, j’ai beaucoup parlé de ce qui nous permet d’avancer : l’espoir. La CAQ et les autres partis passent leur temps à dire qu’on n’a pas les moyens de nos ambitions. Moi, veux qu’on se permette de rêver à nouveau. On est capable de faire des grandes choses au Québec. On est capable de loger tout le monde. On est capable de nourrir tout le monde. Surtout, on est capable de faire tout ça en fondant un pays pour tout le monde. À Québec solidaire, on a des solutions pour le présent et des aspirations pour l’avenir. L’élection est dans moins d’un an, on repart la machine », a ajouté Sol Zanetti.


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