À la Bourse de la misère, l’indice de la pauvreté est toujours en progression et demeure le placement le plus recherché et stable sur tous les parquets du monde
La pauvreté est la maîtresse de la misère
Les stigmates douloureux de la pauvreté et les affres de la misère orchestrés par des idéologies et des politiques bien ficelées et ancrées dans la société entraînent souffrance et détresse. Cette tragédie bouleverse les aspirations des personnes et mine les contreforts de leur vie en portant atteinte à leur dignité et leurs droits. Abandonnées, elles tentent de survivre enferrées de corps et d’esprit dans les murailles de la précarité et se sentent happées par des chapelles de personnes et d’institutions. Semaine après semaine, elles subissent les maigrelettes distributions alimentaires et celle de leurs enfants dans un Club des petits déjeuners et lors de distributions gratuites d’effets scolaires. Pendant la fête « paganocathopitaliste » de Noël, elles doivent supporter le poids de la « Guignolée des médias » et son torrent de denrées gracieusement logoifiées. Le tout servi sur fond fondant des télés en HD avec l’écho des radios amplifié par des médias sociaux déversant une pluie verglaçante de boniments. Il est illusoire de s’imaginer mettre fin à la pauvreté par la magie des Fêtes. On aura beau « liker » cela des milliers de fois, ça ne changera rien.
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ». Albert Einstein
Les pauvres ne sont point des Guignols
Envahis par une forme de nausée et un sentiment d’impuissance lors de la féérie consumériste des Fêtes, les pauvres n’ont pas la tête, ni le cœur à la fête. Pas plus qu’ils ne disposent des ressources pour se procurer de bonnes miches de pain, surtout lorsque son prix a été pétrie par un cartel. Ils ne peuvent s’offrir de beaux sapins, d’autant plus qu’ils ont peu de choses à glisser sous l’arbre. Les pauvres ne sont pas des Guignols et méritent plus que des bons mots ou des conserves en cannes. Ils sont tannés d’être « coupables d’être pauvres dans une société riche », qui était le slogan d’une campagne du RCLALQ, en 1997, lors de laquelle des membres s’étaient déguisés en prisonniers pour la présentation d’un mémoire à l’Assemblée nationale. Comme l’écrivait Chamfort : « La société est composée de deux grandes classes : ceux qui ont plus de dîners que d’appétit et ceux qui ont plus d’appétit que de dîners ». En décembre 2010, pour être reconnu par le livre des records Guinness, l’Émirates Palace à Abou Dhabi aux Émirats arabes unis a dévoilé un sapin de Noël d’une valeur de plus de 11 millions $ orné de 181 pièces en diamants, perles, émeraudes, saphir … La richesse est vraiment l’antichambre de l’indécence !
Éloge de la charité et/ou de la justice sociale
À chacune des fins d’année que le calendrier Grégorien achève d’effilocher ses 365 jours et nuits harponnant le temps et les saisons et charriant dans son sillon les joies et les peines, nous assistons au cirque des commandites caritatives. Ces gestes de solidarité se veulent louables et l’on ne doit pas dénigrer l’engagement de ceux et celles qui œuvrent afin de soulager cette précarité. En contrepartie, ces élans d’empathie finissent par encourager un désengagement de l’État et servir de paravent pour occulter la réalité et de soupape pour dépressuriser les tensions sociales. En définitive, quelle infamie qu’une société riche telle la nôtre, pourvoyeuse de biens et de services et abonnée à la surabondance se révèle aussi misérable pour se satisfaire de ces solutions éphémères.
La fabrique des pauvres
Nous savons que la pauvreté et la misère ont peu à voir avec le fardeau de la fatalité et sa complice la légèreté de l’oisiveté. Elles ont plus à voir avec une société inégalitaire à la solde d’un Pantagruel système stockeur de richesses mal partagées par un fourbe répartiteur de miettes contraignant les pauvres à grapiller les miettes tombées de la table festive des nantis. Le tout macéré dans une mare de préjugés ravitaillé par un système libertarien soutenu par ses laquais et confiseurs de duperies. Un système qui sauvegarde les intérêts de l’élite économique et en offrant des revenus et des prestations faméliques ne couvrant même pas les besoins de base, formatant des programmes de protection et de formation mal adaptés et ne prenant pas en compte les réalités socioéconomiques. Ces miettes sociétales « calculées » sauvent la face de l’État et maintiennent à flot les rafiots des « cheap labor », les stigmatisent, scrapent leur élan et scalpent leur destinée. Selon une étude de l’IRIS : « Depuis un peu plus de 40 ans, les 90% les moins aisés du Canada ont transféré environ 3,8 billions de dollars aux 10% les plus riches ». Avec une mémoire collective tapie dans l’oubli et une novlangue martelée sur l’enclume de l’indifférence, nous sommes parvenus à forger une chape d’invisibilité et de silence autour de la pauvreté et mystifier la réalité par une aura de fatalité.
Une cabane au Caquistan
En 2025, le nombre de mal-logéEs représente 373 000 ménages consacrant plus de 30 % de leur revenu à se loger et 1 899 ménages rescapés du 1er juillet. Depuis la pandémie de Covid-19, la situation des sans-abris s’est aggravée et les réalités liées à l’itinérance se sont révélées dramatiques et on a laissé p(m)ourrir la situation. Selon une recension de 2022, l’itinérance a explosée et on l’estime à environ 10 000 personnes partout au Québec, imaginer leur nombre en 2025, à un point tel qu’elle est devenue un problème de santé publique. Cette itinérance « dérange » et certains prétendent que ces hordes de sans-abris dérivant dans la ville telle la banquise en cachant leur seringue de survie mentale dans leur baluchon du désespoir et en trimbalant leur patrimoine gisant au fond d’un panier de « Steinberg » finissent par « faire mal aux yeux » et nuire au voisinage, au commerce et au tourisme. Ce sacro-saint tourisme sanctifié par le ministère du Tourisme, prisé par les villes et favorisé grâce à des plateformes d’hébergement touristique avec pour conséquences néfastes la perte de logements et l’expulsion de résidents afin de loger des marées de touristes qui se déversent sur les sables noircis et bitumés des villes-musées telles des vagues scélérates. Dû à l’incurie des gouvernements, face à une crise du logement dévastatrice, des prestations et des revenus insuffisants et la hausse du coût de la vie, des milliers de gens peinent à vivre et se loger alors que d’autres sont expulsées à cause de hausses abusives, de reprises de logement et de rénovictions malfaisantes pour aller battre les pavés de l’errance et agoniser à petit feu. On recense 108 personnes mortes en situation d’itinérance en 2024 au Québec. Le partage de l’espace public est laborieux et la population est prise en étau entre son sentiment d’indignation et d’insécurité. Mais cet espace « Schengen » de l’itinérance c’est tout ce qu’ils ont et représente leur ultime retranchement, leur sauf-conduit et on veut le leur arracher. On les judiciarise et les accuse de troubler « l’ordre public ». Une société qui oblitère la présence des plus vulnérables en les chassant « dehors de dehors » est assurément troublée. Mais pour aller où ? Esseulées et dépouillées de leur droit de cité et expulsées dans une cabane au Caquistan.
Le 911 ne répond plus
Il ne faut pas bulldozer les personnes à la rue qui survivent dans des tentes respiratoires dans les campements. Québec doit cesser d’abandonner le fardeau et les critiques aux villes. Il doit plutôt les soutenir ainsi que les acteurs communautaires et institutionnels. Il doit financer de petits refuges, des centres de jour, même de nouvelles maisons de chambres et mieux les répartir et informer les populations afin de gérer le « syndrome pas dans ma cour ». Par la suite, offrir au plus tôt un toit et les services auxquels ces êtres humains ont droit. L’itinérance est sous respirateur artificiel depuis longtemps et le manomètre de la bonbonne d’oxygène sociale indique vide. Notre société souffre d’un grave choc anaphylactique de sens et d’espérance en plus d’être plongée dans une pandémie Civilisationnelle-21 complexe qui requiert des soins immédiats. Cependant, dans les officines gouvernementales, les temps d’attente s’avèrent désespéramment très longs pour les urgences sociétales. – Faites-le 1, sautez le 2, accéder au 3 et patientez, faites le 4 et laissez un message …–
Une crise annoncée
Il y a plus d’une décennie, les groupes communautaires intervenant en logement et en itinérance telle la FLHLMQ, le FRAPRU, le RCLALQ et le RSIQ tiraient la sonnette d’alarme relatif à la venue d’une crise. Les gouvernements successifs ont ignoré ces alertes et celle de 2020, la CAQ a mis 5 ans à la reconnaître. La CAQ a choisi de sabrer dans les programmes sociaux et désinvestir dans le financement du logement social. Elle en a même profité pour démanteler davantage les assises du droit au logement. Ce désengagement a engendré une crise et favorisé le marché privé. On zap des règles d’urbanisme pour construire plus rapidement, – Adieu qualité, bienvenue Qualinet. – on subventionne sans gêne le privé à même des « fonds publics » en plus de faire appel à des fonds fiscalisés en engraissant les investisseurs qui souffrent déjà de cholestérol profit-érol. Les logements ainsi livrés sont loin d’être abordables et de répondre aux besoins des plus démunis et de la classe moyenne. Selon Ricardo Tranjan : « Il y a 75 ans, une étude détaillée réalisée par la SCHL a affirmé sans équivoque que les marchés privés ne peuvent et ne pourront jamais résoudre les enjeux de logement au Canada ». Merci à ceux et celles qui au cours des 50 dernières années ont milité pour le « droit au logement » et se sont battus sur toutes les tribunes, souvent à contre-courant, dans les rues sous toutes les températures météorologiques et politiques pour gagner 170 000 logements sociaux et communautaires. Soit une richesse collective pérenne et un formidable « leg » aux générations futures et nous devrions doubler ce parc pour résorber la crise.
Une situation intenable
En sept ans au pouvoir, la CAQ a submergé les multinationales de subventions envolées avec elles et saupoudré d’une grosse poignée de changes aux pauvres et abdiqué ses responsabilités en matière d’habitation et d’itinérance. On se retrouve dans une situation intenable où 1 million de personnes ont recours aux services des banques alimentaires et uniquement pour le mois de mars 2025, elles ont répondu à près de 3,1 millions de demandes. – Bravo M. Legault, on a dépassé l’Ontario ! – Ils n’arrivent plus à se loger aux prises avec des loyers atteignant des sommets sur l’échelle de Richter des hauses. Ainsi, de 2019 à 2025, le prix des loyers à Montréal a augmenté de 71% avec des loyers de 2 000 $ à 2 650 $ par mois pour un 4 ½. Imaginer le loyer des logements neufs dans cinq ans suite à l’application de la « clause F ». On est à mille lieux des 75 dollars de Couillard pour un panier d’épicerie d’une semaine ou des 500 piasses de Legault pour se loger, ce Rocky Balbutieur champion toutes catégories des désastres financiers et politiques. Honorable P.M. ainsi que vos déplorables et interchangeables titulaires de l’habitation, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les ménages à faible et modeste revenu subissent le supplice des sardines dans des logements insalubres ou sont chassés de leur logement et balayés de leur quartier d’appartenance avec pour unique bagage les larmes du déracinement et jetés à la rue comme des rebuts ou des « Serpuariens » ? – Au moins ces derniers bénéficient d’un abri avec près de 1 000 points de services. –
Fausse crise – Vraie tempête
Comment se loger quand les villes et les gouvernements donnent carte blanche à de riches promoteurs privés, libres comme des larrons en foire et assoiffés de profits pour développer des « quartiers-dortoirs » tel Griffintown à Montréal. Un ancien quartier ouvrier transformé en « ghetto de riches » sans âme, en manque de services et d’espaces verts et dont la proportion de logements sociaux n’atteignait que de 8 %, en 2023. Saturé d’immeubles grattant un ciel pollué et nichant des cocons d’appartements au loyer prohibitif de 3 345 $ par mois pour un 5 ½. Cette offre additionnelle de logements et son effet de percolation attendue, qui n’est en fait qu’un leurre, ne résout en rien la crise actuelle. Ces opérations d’enrichissement et de gentrification représentent une forme de solution de dépannage, de privatisation du développement urbain et d’exclusion sociale. Les discours étatiques s’avèrent un show de boucane pour étouffer les critiques et aveugler l’opinion publique. Attendez de voir les loyers des 20 000 logements projetés dans les sites Bridge-Bonaventure et Namur-Hippodrome. Oui, les riches possèdent bel et bien des sièges à l’intérieur des arcanes du pouvoir et comme le déclare Nicolas Matyjasik : « Quand tout sera privé, nous serons privés de tout ». Selon Peter Marcuse et David Madden : « Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la crise du logement n’est pas causée par le manque d’unités locatives, des taux d’intérêts élevés ou une conjoncture économique défavorable. C’est l’état normal du marché immobilier en régime capitaliste … À plus grande échelle encore, la crise du logement résulte des inégalités et des antagonismes de la société de classes ». La CAQ souhaite mettre l’emphase sur les rénovations. Mais, où vont loger ces familles déplacées par les travaux alors que l’on vit une pénurie ? Cela risque de provoquer davantage de rénovictions et augmenter les loyers une fois les rénos terminées, surtout avec les nouvelles règles de fixation. Pour ajouter l’insulte à l’injure, la CAQ s’entête à ne pas financer et développer du logement hors marché qui permettrait d’offrir du logement à prix raisonnable et du logement social disposant de subventions au loyer. Pas plus qu’il n’adopte de mesures efficientes pour protéger les maisons de chambres et les résidences privés pour aînéEs (RPA), réviser les règles de fixation des loyers fort préjudiciables aux locataires, instaurer un contrôle et un gel des loyers, établir un Registre universel des loyers, réformer le Tribunal administratif du logement (TAL), abolir les clauses « F et G » dans les baux résidentiels, interdire les « Airbnb », contrer la discrimination et les évictions et stopper la marchandisation et la financiarisation du logement. Il n’entend pas réformer et reconnaître le « droit au logement » constituant pourtant un droit fondamental au même titre que l’éducation et la santé. Preuve de son « je-m’en-foutisme » : le droit au logement ne figure pas dans son projet de Constitution. Bâtir un pays certes, mais on les met où les « gens du pays » ? Pas juste dans un bel hymne.
Qu’ossa donne d’aider les pauvres ?
La question à poser : pourquoi tant de pauvreté ? Parce qu’en régime libertarien, les conditions de vie inacceptables des êtres humains ne constituent pas une priorité. C’est pourquoi il s’entête à détricoter le filet social et ne pas respecter ses obligations et les conventions internationales. Les fondements de ces inégalités sont bien enracinés et confortées par un système allergique aux protections sociales qui tousse et même s’étouffe lorsque l’on discute d’équité et d’égalité. Il affirme sans réserve que : donner aux pauvres c’est toujours une folle dépense alors que donner aux riches constitue un bon investissement ». Ça s’appelle la doctrine PSF ou « Puits sans fond » de Fitzgibbon. Ce « top gun » a dévalisé le Fonds de diversification économique à hauteur de 5,1 milliards de dollarsen pertes financières, sans compter les 510 millions $ dans Northvolt dont les batteries financières ont fondu. – Un chausson avec ça ? – Un système dont les mantras sont l’austérité et la réduction de la taille de l’État et avec pour credo « l’économie » et son corolaire : la croissance économique à tout prix ! – Pas de chausson avec ça. – Mais c’est pas si grave que ça selon Yvon Deschamps : « Dans vie y a deux choses qui comptent, une job steady pis un bon boss ».
Prendre la rue pour ne pas se retrouver à la rue
Albert Camus écrivait : « La misère est une forteresse sans pont-levis ». Il nous incombe de bâtir de véritables et durables pont-levis. Des pont-levis permettant à toute personne en situation de précarité de pouvoir franchir en toute dignité les murs ancestraux jugés imprenables de cette forteresse et de s’affranchir de la misère et de la pauvreté afin de pouvoir incarner des citoyens et des citoyennes à part entière et disposer des ressources pour exercer leurs droits reconnus et assumer librement leur destin. Globalement et localement nous devons considérer qu’il s’agit d’une lutte politique et il faut donc nous solidariser. Passer à l’action pour essoucher les racines des inégalités, combattre les préjugés, chasser les craintes et démanteler les politiques néolibérales favorisant le profit et semant les ferments de l’indigence. Cesser ces offres de solutions injustes et non pérennes aux personnes aux horizons cadenassés dans le désespoir et aux existences piégées dans la misère. Mettre un terme au statut quo et obliger les gouvernements à prendre leurs responsabilités et adopter des plans d’action dotés de cibles et de mesures structurantes. Revendiquer des politiques économiques, fiscales et sociales justes et équitables et des mécanismes de contrôle. Il est temps que l’on réaffirme le contrat social au nom du bien commun car notre réserve d’oxygène civilisationnel est en péril. Toute personne devrait avoir accès aux besoins de base, à une alimentation saine et en quantité suffisante, à un logement en bon état d’habitabilité répondant à ses besoins avec un loyer abordable, à des soins de santé et l’éducation gratuites ainsi qu’à un emploi procurant un revenu maximum convenable assorti de bonnes conditions de travail.
Selon OXFAM, les 1 % des plus riches possèdent plus de richesses que les 95 % des pauvres de l’humanité. Comme l’exprime Noam Chomsky : « Les choses arrivent quand les gens décident d’agir. À mon avis, c’est la principale leçon de l’Histoire ». Il est temps de presser le bouton à « off » pour stopper cette frénésie dévastatrice et suicidaire de la croissance sans fin. Comme l’a écrit Aldous Huxley : « Si la guerre, le gaspillage et les usuriers étaient abolis, vous vous effondreriez ». Voilà ce que nous devrons faire, non pas réformer, mais casser ce système au seul bénéfice d’une minorité de nantis, de ploutocrates et de dictateurs corrompus qui ne cessent d’exploiter et de jouer à la roulette russe (américaine ou chinoise) avec notre destin et s’apprêtent à dépenser sur le dos des générations à venir, mais sans avenir, des milliards $ dans l’armement et la frénésie funeste de l’IA et du nucléaire ainsi qu’à exploiter la Lune et Mars. Tout comme ils continuent de le faire avec des millions d’êtres humains abandonnés et exploités. Selon l’Observatoire des inégalités, 733 millions de personnes souffrent de la faim et selon l’ONU-Habitat, 2,8 milliards de personnes n’ont pas accès à un logement adéquat sur une planète qui franchira bientôt son point de rupture. Ils ont pour seule et grande ambition, non pas de sauver la terre et les humains, mais de sauver les terres rares et les machines : c’est tellement plus payant ... Les pires choses au regard des maux de l’humanité sont la « banalisation » (Voir nos frères et sœurs de Gaza rendrent l’âme à la télé couleur en HD sur écran géant et en son surround tout en s’empiffrant de popcorn au beurre et ingurgitant sa canette de coke « diète » glacé.) et le « laisser-faire » (Les Trump, Poutine et Natanyahou de ce monde). C’est pourquoi nous devons continuer le combat car c’est une question d’espoir en la vie, de droits fondamentaux et du droit au bonheur !
« Tant que la population générale reste passive, apathique, détournée par la consommation ou la haine des plus vulnérables, les puissants peuvent faire ce qu’ils veulent, et ceux qui survivent seront laissés à contempler les conséquences ». Noam Chomsky
Solidairement,
Gaétan Roberge
Travailleur retraité du Comité logement Ville-Marie
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